Vous l’avez sans doute remarqué, c’est souvent le propre du chef d’être grossier.
La grossièreté réside dans la manière de s’adresser a l’autre : réponse cinglante, mépris affiché, l’ignorance délibérée, en passant par l’absence de respect des règles de base du savoir vivre.
Certains chefs ne semblent pas connaitre les mots « bonjour », « s’il te plait », « merci ».Est-ce qu’être un grossier personnage aide a grimper les échelons ?
Malheureusement, selon plusieurs études, il semblerait que ça soit le cas.Le monde du travail est peuplé de gens qui s’estiment assez supérieurs zapper la politesse.
Pourtant, a quel moment un patron peut-il penser que la solution d’un problème réside dans une attitude hargneuse ?
IL est assez évident que c’est totalement contre-productif. Ce n’est pas en rabaissant l’autre qu’on va l’aider a progresser, au contraire cela a plutôt un effet demotivant.
Mais celui qui est grossier ne cherche pas l’efficacité au travail, il cherche juste a montrer son pouvoir.
Que faire quand vous avez un rustre comme supérieur hiérarchique ?
IL faut déjà analyser la situation : si il s’agit d’une attitude ponctuelle due a un moment de stress ou de fatigue, on peut laisser passer…une fois !
A la deuxième incartade, il faut agir :
Règle numéro 1 : ne jamais l’affronter frontalement, il prendrait cela pour de la provocation
Règle numéro 2 : lui faire croire qu’on met son comportement sur le compte de la maladresse, et lui expliquer qu’on ne peut pas tolérer d’être traité ainsi a l’avenir
Règle numéro 3 : le lâcher prise ! Laisser le parler et concentrez-vous sur vos vacances, le we, les progrès du petit dernier ou la liste des courses de ce soir.
Ces trois règles ne sont malheureusement efficaces que le temps de chercher un autre emploi.
Car si votre chef est un rustre, il n’y a pas grand-chose a faire et il est peu probable qu’il change : la seule solution durable, c’est la fuite !
Source Article from http://feedproxy.google.com/~r/jobmachine/Grnh/~3/0TVniozvxzo/faut-il-etre-desagreable-pour-reussir
Source : JOBMACHINE
Sans foi, ni loi…pour l’Emploi